- La GSC est une assurance perte d’emploi pour les entrepreneurs et dirigeants d’entreprise : en garantissant le maintien d’un certain niveau de revenu pendant une période définie, la GSC permet de transformer le risque de perte d’emploi en opportunité de rebondir.
- Elle est un outil de maîtrise de risque : lorsqu’on entreprend, l’échec, l’insuccès de son entreprise, fait partie des risques ; l’anticipation des risques fait partie du métier de dirigeant ; la GSC permet de maîtriser ce risque et de sécuriser son avenir, son parcours professionnel, en en atténuant les conséquences pour ses proches, son patrimoine.
- La GSC est un élément de sécurisation des périodes de transitions, fréquentes et inévitables dans la vie d’un entrepreneur : ce qui fait un entrepreneur, c’est qu’il sait s’adapter et apprendre, qu’il a cette agilité, cette capacité à se réinventer, nécessaire au monde d’aujourd’hui. Il rencontre dans sa vie professionnelle des occasions, des opportunités et des risques, dont il n’a pas toujours la maîtrise, qui échappent parfois à toute prévision, et qui peuvent mettre son entreprise ou sa situation au sein de l’entreprise en danger. La sécurité, pour un entrepreneur, provient de la préparation au risque.
- La GSC a été conçue il y a 40 ans par les dirigeants pour les dirigeants puisque le Medef, la CPME et l’U2P en sont à l’origine. La GSC est un service exclusivement réservé aux adhérents des organisations patronales et professionnelles.
- La GSC permet de percevoir une indemnité de perte d’emploi, calculée sur la base des revenus antérieurs (55% ou 70%), pendant 12 à 24 mois, et de bénéficier d’un accompagnement en vue de rebâtir un projet professionnel.
- La GSC s’adresse aux dirigeants mandataires sociaux ou dirigeant TNS (travailleur non salarié) concrètement : aux PDG, Dg de SA, Président de SAS, gérant de SARL (qu’il soit gérant minoritaire, égalitaire majoritaire), chef d’entreprise en nom personnel, artisan, commerçant, créateurs/repreneurs d’entreprises.
- La GSC couvre le dirigeant d’entreprise dans tous les cas de perte involontaire d’emploi à la suite :
- d’une révocation ou du non renouvellement de son mandat,
- d’une cessation d’activité sous contrainte économique : liquidation judiciaire évidemment, dissolution anticipée, restructuration, fusion ou cession de l’entreprise.
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